Ce sont les danceuses cambogiennes de Rodin, enfin du moins quelqu'une des danceuses.

Admirer ces couleurs harmonieuse, ces tons chaleurs et naturels, les fondus... On les voit dancer rien que sur l'écran de note ordinateur, alors sur les originaux...

Elles sont gracieuses, leurs mouvement sont amples, et délicas. Elles l'ont envoutées, il a su nous le rendre, lors qu'il les a peintes à son retours de voyage (sur place il n'avait réalisé que de simple croquis). Vous rmarquerez les traits fin qu'il a su leur conféré en même temps qu'un fondu de couleurs et de traits qui nous procure cette impression de mouvement merveilleuse.

il utilise à la fois un trait net, qui montre sa rigeure et sa métrise, mais il le multiplis ce qui entraine la dance gracieuse des jeunes femmes. A cela il mèle l'aquarelle, l'eau fera donc un fondu parfait, qui confondera les couleurs, au bon degrés pour nous encré d'autant plus dans le spectacle de corps qui se mouvent pour nous.
Les couleurs pâles veulent sans doute suciter le calme et la sérénité lorsqu'elles dancent. Des couleurs plus vivent auraint été trop agressives pour exprimer une telle zenitude.

On peut imagier même une certaine forme d'hérotisme dans les portaits de ces danceuses, puisque la dance peut souvent avoir ce type de conotaion dans un premier temps. Et dans un second, la grace des mouvements, l'amplitude des gestes, la beauté des artistes ainsi que leurs charmes, ont probablement touchés, ou boulversés Rodin de manière à ce qu'il n'est pas de dificulter à les peindre plus tard.
De plus les formes des femmes sont ici vaguent et peut dessiné, il semble plus accé sa visé sur le mouvement lui même, mais d'un par on peut pensé que justement il nous laisse les souentendre, puis d'une autre, on peut comprendre, que le mouvement lui même prend toute l'ampleure necessaire à trouble le spectateur. Si bien que l'artiste  n'a pas fait qu'un tableau les représentant.