Art pictural
  Henri MATISSE
 




Henri Matisse, grand peintre, contemporain de Picasso que celui-ci concidérait comme rival bien qu'ils soient amis. Grand peintre mais aussi dessinateur et sculpteur. Il fut, comme vous le savez, le précurseur du fauvisme, pour les quelques internautes qui se sont aventurer sur cette pages pocèdant des laccunes, aussi compréhensibles soient-elles en histoire de l'art, je me ferait un réel plaisir à réveiller leurs neuronnes assoupis.
Le fauvisme est un mouvement du XXè siècle réactionnaire à l'impressionnisme (que vous pourrez admirez chez Monet par exemple). Il débuta en 1905 par un scandal pour se voir décliner en 1910. Il appelle à des couleures fortes, violentes, on peut aissément dire sauvages, ou même suaves.

La toile présenté ici,  "La désserte rouge" est un parfaut exemple de ce jeu de couleur très expressif. Dans le fauvisme, comme la si bien dit Matisse : "Quand je mets un vert, ça ne veut pas dire de l'herbe; quand je mets un bleu, ça ne veut pas dire le ciel."  On peut donc se demander ce qu'il à voulu dire par un vert qui justement nous montre là, par la fenêtre de la pièce, un jardin verdoyant.
On peut en revanche affirmer qu'il est la couleur opposé au rouge vif que l'on trouve en majorité sur cette toile. Cette couleurs si forte ne laisse en rien se détacher la table qu'on aurait voulu voir ressortir. Seul les élements de décoration de la nappe et des tapisseries, ainsi que la jeune femme sont mieux en valeurs, après cette mise en abime de la toile que l'on imagine en observant la fenêtre. Ces deux couleurs sont fortement contradictoire, tout comme le jaune et le bleu présents sur la nappe et les fruits.

La table s'apparente à une nature morte, mais la présence de la jeune femme à droite peut s'y opposer, à moins que l'on ne la considère que comme un simple objet du décors puisqu'elle semble avoir été traité ainsi par Matisse. Dailleurs les couleurs de sa tenu sont elles aussi en contradiction. Blanc  pour sa jupe contre noir pour sont haut.

On peut  constater un soucis de perspective, sans doute volontaire de la part de l'artiste. Les deux chaisses sont orientées face aux spectateurs, (serait-ceun invitation ?) alors qu'on aurait envis que celle de gauche au moins soit de profils pour aider l'oeil à la profondeur, et ce qui semble plus logique ou cohérent. La seconde chaise laisse penser que la jeune femme n'est pas assise en face de celle-ci.
La perspective du jardiin au dernier plan est elle, très simpliste, on ne décelle la profondeur que par un semblant de rétréssisement du second arbre. Cette fenêtre pourrait dailleurs presque être un tableau à par entière puisqu'elle se détache facilement du reste de l'oeuvre. Cette une perspective cavalière qui nous change de nos habituelle point de fuite qui nous (ou de moins me) sont si cher.
Ce système de perspective donne un autre sens, une autre dimention à la profondeur physique, ou plutôt trompe l'oeil d'un tableau, ainsi qu'à la profondeur spirituelle, si je puis me permettre, ou devrais-je dire de manière moins osé, significative.

Le sens et l'interet de "La dersserte rouge" sont à l'apprésiation du lecteur de l'article ou mieux encore du spectateur, de l'observateur du tableau, de l'amateur, de l'admirateur (du tableau ? ).

 
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