Connu sous le nom de Salvador Dalí, Salvador Felip Jacint Dalí Domènech, né en Mai 1904 est un peintre suréaliste espagnol très connu pour ses fantesies.
Il réalisa dailleurs des oeuvres très particulières sur lesquelles un yeux avisé peut y voir une seconnde réalité qu'un premier coup d'yeux ne percoit pas toujours. Il a également peint des toiles déroutantes sur lesquelles on peut s'interroger longtemps comme "Méditative rose" par exemple. Dalí reste un personnage mystérieux, avec ses codes et ses clefs. Ses toiles sont pleine de symboles qui lui sont propres et qui réfèrent à son univers, parfois déconsertant. L'apriorit portant sur cet homme est qu'il est un personnagee exentrique, incompris, qui peint des choses étranges et qui reste un peu seul dans son univers. Cette image n'et pas entièrement éroné, bien que l'univers de Dalí est aujourd'hui un peu plus persé à jours puisqu'il a sucité beaucoup d'interogations et d'intrigues.
Pour la petit histoire, sa tendance à piendre des objets "mous" comme dans "persistance de la mémoire" (1931), lui viendrait d'une impuissance sexuel, réel ou imaginé par l'artiste, mais seule Gala, son unique femme, le sait.
Je tenais à vous présenter "L'image disparait" datant de 1938. Vous voyez sans doute, une jeune femme debout le dos légerement courbé, dans une pièce qui s'apparente à une cuisine, en vue du carrelage en damier noir et blanc. Elle semble enceinte, ce qui, pour ceux qui n'aurait pas fait le lien avec 'la petite histoire" cité plus haut, pourrait être un clin d'oeil ici à sa soit disant impuissance dont il ne manquait pas de se vanter. Ce qui, j'imagine n'est pas sans faire sourir les quelques internautes du sexe masculin qui jouirait du plaisir si intance qu'est celui de lire mon article, en vu de leur machisme émiant. (Le débat sur le machisme s'ouvrirait volontier si j'avais le temps, mais pour rassuer ceux qui se sentirait offencés par ma remarque, je ne considère pas tous les hommes comme machiste.) Donc une femme disais-je. Elle semble captivée par ce qu'elle tient dans les mains, bien qu'on ne puisse que difficilement se faire une idée de ce que c'est.
Mais dans l'oeuvre de Dalí, tout n'est pas si simple, et vous pourrez constater que le femme se transforme aisément en viellard. Les rideaux qui cache la source de lumière, dans l'univers de la femme,  peuvent représenter sa chevelure. La tête de la femme, son yeux, son bras, sa moustache, sa jupe sa barbe, son sien, l'aile de son nez.
La lumière éclaire le visage baissé de la femme, dans lequel on peut voir une certaine soumissioon, et l'oeil de l'homme. Peut-être est-ce une manière de monter l'intelligence, la lumière de la raison ?
Les couleurs de cette toiles sont dans les beiges, ce qui marque biensur la couleur de la peau de l'homme puisque son visage occupe toute la toile, mais elles sont également tristes et sombres. On peut y voir une référence à la cituation de l'Espagne à ce moment, qui n'inspirait pas à la joie puisque, pour ceux qui ne le saurait pas, nous sommes en pleine guerre civile, et pour resté dans la dramaturgie de la cituation, l'année suivante vera Franco prendre le pouvoir.
Cette oeuvre montre peut-être une certaine soumission de la femme face à l'homme, une domination de celui-ci (d'où la réfléction sur le machisme ci-deesus). Vous remarquerez que l'homme prend beaucoup plus de place sur la toile, son visage en couvre toute le hauteur, de plus son regard porte loin, il a une position complement dominatrice et imposante ici. En revanche la femme est réprésentée de manière beaucoup plus petite, elle a le dos courbé, le regard bas, son attitude général semble moins noble que celle de l'homme. (j'entends ici, noblesse dans son sens
social et non moral).

Je ne connais pas l'opinion de l'artistre consernant la possitoin des femmes dans la société, donc
je ne peux pas dire si cette effet a un but dénonciateur qui permetterait de défendre la place accordée aux femmes dans une Espagne traditionnaliste qui se verra peut de temps après sombrer dans une période triste de son histoire, ou si cette effet n'est autre que dû à la contreinte de réaliser deux personnages en un même espace. Ce qui serait assez surprennat compte tenu des performances et du niveau de Salator Dalí. Mais peut-être que la raison est toute autre.