Voici une estampe de Utamaro,
Un artiste, si je puis me permettre d'employer le terme qui n'est pas de rigeur quand on parle d'un japonais XVIIIé siècle, un artiste donc, extraordinaire. 
Il rendait expressif des zones non peintes en s'occupant des autres, à savoir le visage. Il exprimait ce qu'il voyait dans les maisons vertes, endroit de liberation à une époque où les restrictions sont fortes. Il exprimait notament l'érotisme, il y dessinait ces modèles préférés.

Alors comment cet homme vivait, respirait, s'expimait à travers ces oeuvres, malgrès la restriction ?
On peut peut-être voir à travers Kitagawa Utamaro, le moyen d'exprimer en faisant tomber les tabouts, ce qui hante nos pensées, et une manière de libéré nos idées. Libéré, malgrès les interdictions, en d'autres mots, rester ceux que nous sommes vraiment.
Utamaro utilise des encres sombres lorsqu'il traite le cheveux, ou les zones noires. Il cerne d'ailleur aussi sont sujet par un trait d'encre de chine.
Il joue sur des tons vif et franc qui éveille la toile pour nos yeux. Il utilise de nombreux contrastes. Les couleurs s'inversent sougneusemnt au fil du tableau. Le rouge va se confronter au vert, le violet rencontre le jane orangé et la faicheur du tient de son visage tranche la profondeur démesuré du noir de ses cheveux.
On peut remarquer que la toiles n'a pas de profondeur particulière en matière de perspective. La jeune femme est au premier plan, mias le seul second plan éventuellement envisagable serait un mur derière elle.
Par contre, l'expression mystèrieuse de son visage, lui, donne du relief à l'oeuvre. Son regard inspire aux questionnement. Qui regarde-t-elle ? Elle semble porter de l'attention à sa gauche.
il y a égaelement de nombreux éléments de détailles. Sa coiffure est des plus sofistiquée, et son éventaille relève lui aussi du complexe. Le motive représenté montre un paysage aquatique, et beaucoup de verdure.
Allant à l'encontre de toutes ses complications, le trait parait relativement simpliste, ce qui le rend paradoxalement plus complexe puisque justement, on ne voit aucune corriction de la par de l'artiste, ce qui peut sous entendre qu'il l'a réalisé d'un seul coup de crayon. Et ce ci le rend d'autant plus admirable.