Un autopportait qui ne vous laisse sans doute pas pantoit puisqu'il est extrèmement connu. Vous en avez probablement des disaines de copies chez vous, sur des calendriers, affiches, ou autres boites décoratives qui trônent en première place sur le buffet de votre séjours pour y souligner aux quelques visiteurs de votre charmante maisoné, que vous vous interesser à l'art, qui plus est, impressionniste, mouvement que vous ne sauriez, pour la plupars définir que vagment, et qui n'est pas sans rappelle Monet, Ho grand père de l'impressionnisme, sur qui vous trouverez un article à
l'onglet du même nom.
Pour les visiteurs qui aurait échappé à la lecture des articles figurant sur les auters onglets, je
tiens à refaire un court rappelle sur ce mouvement, capitale, dans l'Histoire de l'Art.
Ce mouvement, dont la première toile en émanant n'est autre que "impression Soleil levant" de Monet, marque une rupture avec l'art moderne, et tente de capturer les instants furtifs, voir fugitifs. Il représente la réalité, ou plutot la vérité des artistes, elle devient de plus en plus subjective, pour nous permettre d'entrer dans leur tête, dans leur univers. Au même titre que la musique nous ouvre l'accès à l'âme du compositeur, la peinture, nous dévoile le regarde d'un homme sur sa société,
sur ses idées, ses inquiétudes.

Sur celle toile, Vincent Van Gogh a sur réaliser un portait qui lui resemble, à son image, mais il n'a rien améliorré, il n'a pas tenté de s'arranger, c'est brute. C'est honnète.

On remarque un choix de couleurs néanmoins particulier. Les tons utilisés sont, à dominante orange, marron, couleurs de l'automne, je ne pense pas vous apprendre grand chose. Et je ne m'imagine pas non plus dévoilent la nouvelle de l'année, si je vous dit que ces couleurs, et à
forciori, cette saison, sont un éminant symbole de fin de vie, de mort, de nostalgie, de deuil.
Si vous vous interessez de plus près au regard de Vincent, vous remarquerez une certaine einclinaison vers le bas, ce qui souligne une profonde tristesse dans le regard. Ce mouvement de
courbure vers le bas, est rappellé par la forme de la bouche, et accentué par la pippe.
Sans oublié son bandage qui lui couvre l'oreille et lui entour le crâne. Alors, pour les quelques personnes qui n'auraient pas leur licence en histoire de l'art, et qui oserait malgrés tout, venir braver mes articles ( avec beaucoup de bravoure il faut le souligner, contenu de la violence) Je
rappelle que Van Gogh c'st coupé l'oreille, volontairement, ce qui, les plus perspicasse l'auront compris, est une mutilation volontaire pour se punir. Beacoup ignore  l'histoire complète de cette anectode croustillante. Van Ghog se retir de Paris, pour rejoindre Arles, nous sommes en 1888. L'artiste souhaiterait créer une communuté d'artiste pour travailler, et partager ensemble leur
pation de la peinture.  C'est donc pourquoi Paul Gauguin, l'y rejoind, mais entrainné par la virulente envie créatrice, et par la besogne à laquelle ils s'étaient atelés, les tentions augmentèrent, et les deux peintres s'entendaient mal. (aucune plaisanterie sur la mutilation de l'oreille je vous pris !). Mais un jour, suite à une dispute violente Vincent Van Gogh tenta de tuer Paul Gauguin. Suite à
quoi, pour se punir de cet acte audieux, il décida de se couper l'oreille gauche, et alla (la raison m'échappe) l'offrir à une prostitué. Trois mois après les habitants de Arles, signèrent une pétition pour qu'il se
fasse interné à l'Hotel-Dieu.
Cette toile est ainsi, peut-être un moyen d'extérioriser honnètement toutes les souffrances qu'il avait, et également de montrer qu'il n'était pas si fou que tout le monde le prétendait, puisqu'il
gardait cette vision juste et honnète de lui même.

Ces quelques précisions sur l'artiste aide à comprendre la toile, qui fue peinte en 1889. Ce portait
est de loin le plus triste qu'il ait fait de lui, celui où l'on peut voir le plus de souffrance, de mal-être, blessurs dans ses yeux. Cet article change légerement des annalyses strictes de tableaux, mais je pense
qu'elle éclair, à son niveau, l'oeuvre.