Art pictural
  REMBRANDT
 





"Boeuf écorché" de REMBRANTD, une nature morte surprenant me direz-vous, et bien oui. Elle a inspirée "Carcasse" de Soutine, (je vous invite à aller consulter l'article.)
Alors au delàs des apparences de chaires vivent de ce boeuf mort, on peut parler à la fois de techniques, mais aussi de sensations et de sentiments.

Rembrandt utilisait frécament une techique appellé "clair-obscure", celle-ci consistait à mettre en valeur, certains éléments du tableau, à faire resortir les contrastes et les reliefs de ce qu'il voulait représenter, en jouant sur les couleurs et la lumière. Il mettait l'élément important en lumière, le clair ; et le second plan dans l'ombre comme pour le faire disparaître, ou plutôt l'éffacer partciellement. Il n'est presque plus là, on le cache, mais en même temps on le deviene encore, on s'interroge à son sujet, il devient mistérieux. On le voit mais pas tout à fait nettement ce qui peut suciter encore des questions à son sujet et laisser ainsi voguer l'imaginaire. On entre dans quelque chose de profonfément dramatique dans les toiles de Rembrandt grace à cette technique, qui rend des choses froides presque funeste en quelque chose de mystérieux, et sur lequel finalement on tend à s'attarder.

Pour s'intersser aux sentiments, aux sensations présentent ici, que peut-on dire ? Et bien tout d'abords on ne peu pas négligé l'aspect quelque peut gloque de la toile. Mais essayons d'aller plus loin. 
Les couleurs jaune rouge présntent ici, ont plus aisément des conotations noir (si je puis me permettre) que chaleureuse comme on l'entends souvent. On persoit sur les chaires de la bête comme un voilage gris qui sucite la mort. Maintenant qu'est ce qu'elle veut dire ? Pourquoi a-t-elle été peinte ? Voulait-elle évoquer un décès, des idées noirs ? Rembrantd a-t-il simplement voulu surpendre ?

on peut par contre constater au second plan dans un bref rayon de lumière un personnage, lui vivant au milieu de cette dépouille. Mais le paradoxe est justement là. L'homme, ou la femme vivant et animé, se trouve rejetté au second plan. En revanche la bête, inférieur à l'homme dans les faits et le commun des esprits, qui plus est, est mort, se voit porter dans la lumière, au premier plan, mis en valeur et en avant. Cependant n'oublions pas que le tableau date du XVIIè siècle et que la représentation humain n'en est qu'a ses balbusiments.

 
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